conception et réalisation de l'auteur juin 2011
mise à jour septembre 2024
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Bienvenue sur le site de Colette Geslin
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Après Trifine et sa légende ( Le barde de Waroc) après Aldren et son étrange malédiction (Le diable ne danse jamais loin), après Josse et Ysaure, menacés d'être excommuniés pour leur vie en marge (Le loup du Menez Hom) d'autres personnages arrivent: Kadvan, disgracié par la nature, Soaz face à un époux violent, et la jeune Bleuzen, qui sera leur destin. Lien vers vidéo You Tube www.youtube.com/watch?v=T5zrZgF1AQM&t=2s |
de sinople au dragon de gueules sur croix d'argent: Blason de Croaz
Blason de la famille Massart: Sur terre et sur mer
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L'opinion des lecteurs
Les lecteurs du roman "Le coeur du dragon"
Je suis entrée immédiatement dans l'histoire , d'autant plus facilement que je suis en terre connue : l'abbaye de Langonnet , les gorges de Toul Goulic ,Carhaix ... Le Centre Bretagne , mon "fief " et aussi et surtout grâce à cette faculté que l'auteur a de rendre les personnages si familiers , si vivants .,si touchants .Tout est lié , fluide et les descriptions sont perspicaces .Comme souvent dans ses romans, je vois les scènes .
Quant à Riog , le personnage central, il me rappelle un certain druide ... je m 'attends à ce qu'il joue un rôle primordial!
Et puis l'historienne passionnée nous distille des faits réels ou rectifie ceux transmis et modifiés involontairement le soir à la veillée . (MU)
Le plus grand des mercis pour m'avoir permis de passer de si bons moments dans la lecture de votre dernier roman "Le coeur du dragon". J'ai adoré ! Dès les premières lignes, j'ai été happée par la densité émotionnelle de l'histoire et les personnages si puissants et attachants. Cela fait longtemps que je n'ai pas lu un livre aussi passionnant, mais devrais-je m'en étonner, non, car c'est du pur Geslin que j'adore.(Marie-Noëlle)
L'histoire tout en délicatesse nous tient sous son charme
Avis d'une lectrice charmée par le roman d'aventure historique "Le Coeur du Dragon" de Colette Geslin.
Dans un décor où la nature est omniprésente, l’histoire, tout en délicatesse, se déroule à l’époque d’Anne de Bretagne et nous tient sous son charme.
Les personnages sont vivants et attachants, les événements fort vraisemblables et bien racontés, les sujets et préoccupations intemporels : droit d’aînesse, différences sociales, absence de la mère, domination des femmes, amour et haine,….On peine à quitter l’histoire et ses personnages à la fin de la lecture. (Claudia)
Ouvrir un nouveau livre de Colette Geslin c'est toujours pour moi la promesse de bons moments de lecture. Sur fond historique et avec un grand souci de véracité, l'auteur nous embarque dans une nouvelle aventure attrayante et sensible, pleine de rebondissements. L'amour est profond, l'amitié indéfectible, la jalousie dangereuse. Les sentiments sont forts, les personnages charismatiques et attachants. Le rythme est fluide et rapide. Un grand plaisir de lecture.
Emma
Les lecteurs du roman : "Le loup du Menez Hom"
lien vers vidéo You Tube
www.youtube.com/watch?v=giTTr_g08FQ&t=15s
article Keltia n°60-Août 2022: Robert Martin
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J'ai lu ce roman de Colette Geslin avec une avidité vraiment peu coutumière, me réveillant la nuit pour connaître le prochain chapitre, tellement ce récit nous ensorcelle par les rebondissements que vivent les personnages aux caractères bien trempés dans une Bretagne dure, sauvage, décrite avec élégance et passion. J'ai adoré l'audace de l'auteur de décrire et de passer, dans un contexte historique précis, des durs conflits, aux secrets d'alcôve, en préservant toujours au fil des pages, un suspens finement mené qui nous amène à nous attacher véritablement à Josse, Ysaure, Jaouen... et à ce Loup du Menez Hom!!! Magnifique écriture.(Françoise) J'ai aimé faire un bout de chemin avec Josse et Ysaure , personnages très modernes, nobles de coeur, dans une Bretagne sauvage et belle . Il me semble que l'auteure s'est particulièrement attachée à Louise, symbole de la femme libre , indépendante et engagée. J'ai aimé Jaouen aussi, au grand coeur, qui assume son homosexualité à une époque où on imagine plus facilement des guerriers au combat . Le roman fourmille de personnages très attachants, face à un clergé inflexible et obscur, tout puissant... et j ai pensé à la lutte de Luther contre les Indulgences . Et la fin ! Quelle trouvaille !(Mu) C’est peu dire que j’ai aimé "Le loup du Menez Hom"… je l’ai dévoré. Je suis une grande amatrice de romans historiques et votre plume est un régal. Je vais me précipiter pour acheter les autres ! (Anne S.)
Lecture très intéressante car, en dehors de l'histoire familiale et sentimentale, il y a un grand travail de recherche sur les us et coutumes, l'Histoire, les vêtements, les repas et le vocabulaire riche et assez explicite de cette époque. Félicitations à l'auteure. (Annie) J'ai terminé "Le Loup du Ménez-Hom" qui, comme tous les romans de Colette Geslin, avec leur dimension historique, des personnages attachants et hauts en couleur, une intrigue palpitante où jamais l'ennui ne se mêle, procurent lors de leur lecture des instants riches en émotions et de passion.(M. Noëlle)
Je viens de lire le loup,en trois jours ! bien accroché dès le début !
J'ai trouvé très attachants les personnages de cette" Saga familiale" mis à part les méchants bien sûr! Il est facile d'imaginer les personnages,paysages, châteaux au travers de l' écriture. Suivre les"héros" a été un réel plaisir :mention spéciale à la tante Louise, quelle maîtresse femme ! Patrice |
Quel bonheur de lire votre nouveau livre « Le Loup du Menez-Hom ». Vous nous transportez avec vous dans cette époque historique et passionnante des ducs de Bretagne, et l’on retrouve votre monde captivant où gravitent des hommes de caractère, de cœur et de force d’âme. A leur côté, les femmes sont fortes, indépendantes, et font face avec courage à leurs conditions féminines. On tourne les pages avec délectation, on oublie nos soucis, et on est bien triste, lorsque l’on referme le livre, de quitter vos personnages tellement attachants. Merci pour cette lecture si plaisante. A quand le prochain ?Paula
Le loup de Menez-Hom, entre roman historique et passion
le 1 janvier 2023: Sous la plume de l'auteure du "Loup de Menez-Hom", on se laisse porter et transporter dans un monde empli d'amour mais aussi de rudesse. On espère une fin heureuse pour les différents protagonistes et on se surprend à lire toujours plus loin, sans parvenir à lâcher pour un temps le précieux dénouement. Un zeste de magie, une belle histoire d'amour, des personnages avec une belle âme, vraiment attachants. On espère une suite. A lire sans modération (Xavier)
Les lecteurs du roman "Le diable ne danse jamais loin"
"Le Diable ne danse jamais loin", déjà à la lecture du titre de cet ouvrage, c'est à la fois un mélange de curiosité et de perplexité qui s'est emparé de moi !!! Y aura t'il de la magie, des sorcières, des sortilèges malfaisants? des disparitions étranges? mais d'entrée le personnage d'Aldren est campé, certes très inquiétant, très troublant, je me demande même si je vais pouvoir supporter de continuer ce récit? puis très vite au au fil des pages, et c'est là toute la finesse de l'écriture et l'ingéniosité de l'auteur, de nous surprendre, en nous faisant basculer dans une telle belle tendresse, l'amour pur sur différents plans, qui émanent de cet être et la surprise encore plus totale de voir une jeune femme s'en éprendre!! Union divine? union surnaturelle? je vous laisse à ce mystère et découvrir que rien n'est impossible pour qui le désire au fond du cœur. Merci et vite au grand plaisir de lire le prochain roman de Colette Geslin, car c'est un réel plaisir mêlé d'admiration de découvrir les nouvelles intrigues qui se nouent en cette belle Bretagne avec ces héros mythiques.
Je viens de terminer la lecture du "Diable ne danse jamais loin" et, comme à chaque fois, j'aurais voulu passer encore un peu de temps avec des personnages si attachants. J'ai beaucoup aimé ce dernier roman, qui raconte une formidable histoire d'amour, formidable car aussi puissante qu'inattendue, entre le seigneur de Tréhani et Gania jeune femme volontaire et en avance sur son époque ! Epoque difficile, si on en juge par certaines scènes violentes heureusement contrebalancées par d'autres, tendres ou passionnées .
J'ai trouvé intéressant également de sortir de Bretagne pour accompagner ce jeune médecin, avide de connaissances , en Italie .
J'ai surtout adoré la scène avec le faune ! C'est une scène très délicate, magique, en parfaite symbiose avec l'image que je me fais de la Bretagne, terre de légendes .
La lecture est fluide , le tempo soutenu, il se passe toujours quelque chose .
Tout au long de ma lecture j'ai eu l'impression que l'auteure évoluait parmi les personnages, qu'elle était dans ces lieux, et qu'elle était le lien.(Mu)
Quelle gourmandise que ce dernier roman dans lequel ces merveilleux personnages d'Aldren et Gania ont mis mon coeur en émoi, tous deux très attachants. Dans vos romans, vous savez juste trouver l'étincelle à chaque page qui rend difficile l'interruption de la lecture. je l'ai lu en 2 jours, et j'aurais bien aimé qu'il soit un peu plus long pour que je puisse continuer à rêver dans mes heures d'activité. J'attends avec impatience de reprendre la lecture où je l'avais laissée. J'essaie d'imaginer la suite. Je vis avec les personnages, je me sens dans l'histoire, je ressens leurs émotions, leurs sentiments. Je n'ai jamais été déçue par aucun de vos romans.Grand bravo. (Marie-Noëlle)
Je suis une fan de tous les livres de Colette Geslin , mais celui-ci m'a embarqué...... le fait qu'il y ait moins de personnages à mémoriser et cette belle histoire d'amour; j'ai d'abord pensé à Perrault et "La belle et la bête", puis mon esprit s'est accroché à la "différence" ; Des problèmes actuels sur "les maladies génétiques" , les procréations "magiques", mais vécu dans une époque ancienne ... tout cela m'a "enchanté"(Martine)
Le dernier roman de Colette GESLIN nous emmène à l’époque trouble du bas Moyen-âge, pendant laquelle le duché de Bretagne continue d’être la convoitise des puissants. Ce roman retrace le destin de personnages pittoresques, notamment le seigneur de Tréhani atteint d’une tare qui le pousse à se terrer dans son manoir. Mais c’est sans compter sur le rôle de ses proches ainsi que sur celui de la fille du seigneur de Trohanec. Mais je n’en dirai pas plus afin de ne pas divulguer et gâcher la suite du roman.
Ce roman, comme tous les romans de Madame Geslin, nous envoûte dès les premières pages et on ne résiste pas à la tentation de le lire d’une traite. Cela tient à un style vraiment très beau, fluide, enlevé. Il n’y a pas de temps mort et le rythme est parfait à mon humble avis. Bref, l’auteure sait merveilleusement bien nous tenir en haleine. Madame Geslin a également une grande connaissance de l’histoire de Bretagne pour notre plus grand bonheur. On a un sentiment de magie à la lecture de ses romans, c'est pourquoi on a l'impression de faire corps avec ses personnages. Bref, encore un très beau roman ! (Patricia)
"Le diable ne danse jamais loin", lu en deux jours ! ce qui est un record pour moi! mais les gros caractères de l'impression et l'histoire haletante ont fait que je revenais sans cesse sur le roman et le contenu qui me tenait en haleine ! J'ai évidemment aimé l'histoire d'amour sur ce fond historique d'après guerre de succession. Les personnages sont attachants, forts et rudes. En même temps, l'amour enveloppe les cruautés de cette vie d'antan. J'aime particulièrement les personnages d'Aldren aux qualités personnelles insoupçonnables compte tenu de l'époque et de son handicap, Gania, personnage féminin bien trempé et faisant fi des apparences. J'aime aussi toutes ces chevauchées dans des paysages bretons qui me parlent et qui laissent l'imagination créer le décor dans la tête du lecteur sur fond de guérisseuses et de faunes : j'ai passé un excellent moment grâce à cette lecture. Merci à l'auteure. Corinne
Le 29 septembre 1364, la bataille d'Auray est le point d'orgue de la guerre de Succession de Bretagne, conflit intérieur breton, mais aussi un des enjeux de la Guerre de Cent Ans. Aignan de Trohanec et son écuyer Hervé sont partis rejoindre l'armée de Charles de Blois pour combattre les troupes de Jean III de Montfort soutenu par les Anglais. Mais ni l'un ni l"autre ne reviennent et la fille du seigneur de Trohanec, Gania, se trouve fort démunie lorsqu'un oncle dont elle n'a jamais entendu parler, accompagné de soudards anglais, prend possession du château et entend épouser sa nièce. Elle se souvient alors du conseil de son père: en cas de péril, trouver refuge auprès d'un seigneur du voisinage, Aldren de Tréhani, que bien des mystères entourent. D'ailleurs, qui peut dire l'avoir déjà rencontré? Gania doit donc avant tout échapper à ses geôliers...
On retrouve dans ce dernier roman des personnages qu'affectionne l'auteur: une jeune fille démunie mais vaillante, des serviteurs fidèles, des brutes sans scrupules, un guerrier redoutable mais loyal. Avec, pour originalité, de proposer une nouvelle mouture, réaliste, d'un des contes les plus connus de notre patrimoine.
Robert Martin, KELTIA n° 58
J'ai trouvé intéressant également de sortir de Bretagne pour accompagner ce jeune médecin, avide de connaissances , en Italie .
J'ai surtout adoré la scène avec le faune ! C'est une scène très délicate, magique, en parfaite symbiose avec l'image que je me fais de la Bretagne, terre de légendes .
La lecture est fluide , le tempo soutenu, il se passe toujours quelque chose .
Tout au long de ma lecture j'ai eu l'impression que l'auteure évoluait parmi les personnages, qu'elle était dans ces lieux, et qu'elle était le lien.(Mu)
Quelle gourmandise que ce dernier roman dans lequel ces merveilleux personnages d'Aldren et Gania ont mis mon coeur en émoi, tous deux très attachants. Dans vos romans, vous savez juste trouver l'étincelle à chaque page qui rend difficile l'interruption de la lecture. je l'ai lu en 2 jours, et j'aurais bien aimé qu'il soit un peu plus long pour que je puisse continuer à rêver dans mes heures d'activité. J'attends avec impatience de reprendre la lecture où je l'avais laissée. J'essaie d'imaginer la suite. Je vis avec les personnages, je me sens dans l'histoire, je ressens leurs émotions, leurs sentiments. Je n'ai jamais été déçue par aucun de vos romans.Grand bravo. (Marie-Noëlle)
Je suis une fan de tous les livres de Colette Geslin , mais celui-ci m'a embarqué...... le fait qu'il y ait moins de personnages à mémoriser et cette belle histoire d'amour; j'ai d'abord pensé à Perrault et "La belle et la bête", puis mon esprit s'est accroché à la "différence" ; Des problèmes actuels sur "les maladies génétiques" , les procréations "magiques", mais vécu dans une époque ancienne ... tout cela m'a "enchanté"(Martine)
Le dernier roman de Colette GESLIN nous emmène à l’époque trouble du bas Moyen-âge, pendant laquelle le duché de Bretagne continue d’être la convoitise des puissants. Ce roman retrace le destin de personnages pittoresques, notamment le seigneur de Tréhani atteint d’une tare qui le pousse à se terrer dans son manoir. Mais c’est sans compter sur le rôle de ses proches ainsi que sur celui de la fille du seigneur de Trohanec. Mais je n’en dirai pas plus afin de ne pas divulguer et gâcher la suite du roman.
Ce roman, comme tous les romans de Madame Geslin, nous envoûte dès les premières pages et on ne résiste pas à la tentation de le lire d’une traite. Cela tient à un style vraiment très beau, fluide, enlevé. Il n’y a pas de temps mort et le rythme est parfait à mon humble avis. Bref, l’auteure sait merveilleusement bien nous tenir en haleine. Madame Geslin a également une grande connaissance de l’histoire de Bretagne pour notre plus grand bonheur. On a un sentiment de magie à la lecture de ses romans, c'est pourquoi on a l'impression de faire corps avec ses personnages. Bref, encore un très beau roman ! (Patricia)
"Le diable ne danse jamais loin", lu en deux jours ! ce qui est un record pour moi! mais les gros caractères de l'impression et l'histoire haletante ont fait que je revenais sans cesse sur le roman et le contenu qui me tenait en haleine ! J'ai évidemment aimé l'histoire d'amour sur ce fond historique d'après guerre de succession. Les personnages sont attachants, forts et rudes. En même temps, l'amour enveloppe les cruautés de cette vie d'antan. J'aime particulièrement les personnages d'Aldren aux qualités personnelles insoupçonnables compte tenu de l'époque et de son handicap, Gania, personnage féminin bien trempé et faisant fi des apparences. J'aime aussi toutes ces chevauchées dans des paysages bretons qui me parlent et qui laissent l'imagination créer le décor dans la tête du lecteur sur fond de guérisseuses et de faunes : j'ai passé un excellent moment grâce à cette lecture. Merci à l'auteure. Corinne
Le 29 septembre 1364, la bataille d'Auray est le point d'orgue de la guerre de Succession de Bretagne, conflit intérieur breton, mais aussi un des enjeux de la Guerre de Cent Ans. Aignan de Trohanec et son écuyer Hervé sont partis rejoindre l'armée de Charles de Blois pour combattre les troupes de Jean III de Montfort soutenu par les Anglais. Mais ni l'un ni l"autre ne reviennent et la fille du seigneur de Trohanec, Gania, se trouve fort démunie lorsqu'un oncle dont elle n'a jamais entendu parler, accompagné de soudards anglais, prend possession du château et entend épouser sa nièce. Elle se souvient alors du conseil de son père: en cas de péril, trouver refuge auprès d'un seigneur du voisinage, Aldren de Tréhani, que bien des mystères entourent. D'ailleurs, qui peut dire l'avoir déjà rencontré? Gania doit donc avant tout échapper à ses geôliers...
On retrouve dans ce dernier roman des personnages qu'affectionne l'auteur: une jeune fille démunie mais vaillante, des serviteurs fidèles, des brutes sans scrupules, un guerrier redoutable mais loyal. Avec, pour originalité, de proposer une nouvelle mouture, réaliste, d'un des contes les plus connus de notre patrimoine.
Robert Martin, KELTIA n° 58
Les lecteurs du roman "Le barde de Waroc"
Je viens d'écouter votre interview passionnante autour du Barde de Waroc. Précise, informative, décapante. Ce que j'apprécie chez vous, outre votre écriture que j'aime beaucoup, c'est cette volonté, tout en abordant le terrain mouvant de l'histoire et des mythologies de la Bretagne, de toujours garder des points d'accroche et de conserver un esprit critique. Vous ne tombez jamais dans l'affabulation et, de ce point de vue, vous contribuez à donner ses lettres de noblesse au roman historique. Tout ce que vous dites est plausible. Vous dépoussiérez ce qui fut souvent pris dans un cocon de légendes et, du coup, vous permettez de nouvelles lectures et faites travail d'historienne (Alexis)
Quels merveilleux moments vous m'avez fait vivre à la lecture de votre dernier roman.
Du pur Geslin que j'aime à savourer! Vivement le prochain.
Malgré beaucoup de turbulences, vous savez rendre les personnages attachants, c'est du bonheur de vivre avec eux et c'est avec beaucoup de mélancolie que j'achève la lecture de ce roman.
J'aimerais que l'histoire se poursuive. (Noëlle)
J'ai terminé la lecture du Barde et je tenais à vous remercier pour cette balade romancée dans l'Histoire de la Bretagne . Vous m'avez fait aimer les personnages, grâce à leurs qualités: courage, empathie, discrétion , dévouement ... Bémol pour les fils de Waroc !!! Quant à Conomor, j'ai envie d'en savoir plus !
Vous m'étonnerez toujours quand vous décrivez les scènes de batailles ! Et la 1ère nuit d'amour de Gwenn et Math !!! J'ai revisité des lieux que je connais et je pense que lorsque je retournerai sur l'île de Batz , à St Pol de Léon , ou à Belz , je penserai à Arzel, Math, Trifine .... (Mu)
Quel bonheur d'avoir retrouvé cette période du Haut Moyen âge, dans cette zone géographique qui deviendra la Bretagne que nous connaissons ! Quel bonheur de découvrir de nouveaux personnages hauts en couleur. Votre livre est tellement passionnant qu'il se lit d'une traite. Quand on l'a commencé, on ne peut peu plus le lâcher et c'est toujours avec tristesse que l'on tourne la dernière page. Merci de nous faire rêver tout en nous instruisant sur cette période de l'histoire peu connue du grand public. En fait, nous ne vous remercierons jamais assez...Admirativement. (Patricia)
Quels merveilleux moments vous m'avez fait vivre à la lecture de votre dernier roman.
Du pur Geslin que j'aime à savourer! Vivement le prochain.
Malgré beaucoup de turbulences, vous savez rendre les personnages attachants, c'est du bonheur de vivre avec eux et c'est avec beaucoup de mélancolie que j'achève la lecture de ce roman.
J'aimerais que l'histoire se poursuive. (Noëlle)
J'ai terminé la lecture du Barde et je tenais à vous remercier pour cette balade romancée dans l'Histoire de la Bretagne . Vous m'avez fait aimer les personnages, grâce à leurs qualités: courage, empathie, discrétion , dévouement ... Bémol pour les fils de Waroc !!! Quant à Conomor, j'ai envie d'en savoir plus !
Vous m'étonnerez toujours quand vous décrivez les scènes de batailles ! Et la 1ère nuit d'amour de Gwenn et Math !!! J'ai revisité des lieux que je connais et je pense que lorsque je retournerai sur l'île de Batz , à St Pol de Léon , ou à Belz , je penserai à Arzel, Math, Trifine .... (Mu)
Quel bonheur d'avoir retrouvé cette période du Haut Moyen âge, dans cette zone géographique qui deviendra la Bretagne que nous connaissons ! Quel bonheur de découvrir de nouveaux personnages hauts en couleur. Votre livre est tellement passionnant qu'il se lit d'une traite. Quand on l'a commencé, on ne peut peu plus le lâcher et c'est toujours avec tristesse que l'on tourne la dernière page. Merci de nous faire rêver tout en nous instruisant sur cette période de l'histoire peu connue du grand public. En fait, nous ne vous remercierons jamais assez...Admirativement. (Patricia)
Les lecteurs du roman "Les larmes du magicien"
C'est avec passion que j'ai lu le dernier roman, de Colette Geslin :" Les Larmes du Magicien", dans lequel je reconnais son génie de l'intrigue à travers ce récit historique et fantastique dont les personnages se révèlent très attachants et touchants. C'est avec une certaine tristesse que j'ai tourné la dernière page de ce roman qui a bercé toutes mes journées et c'était toujours avec beaucoup d'impatience que je guettais le moment de le saisir afin de poursuivre sa lecture. (M.N)
En lisant "Les larmes du magicien !" je me retrouve comme d’habitude baignée dans cette époque qui me ravit ! La nature est très présente dans ce roman, la forêt, la mer, la force des éléments, mais aussi les couleurs, les odeurs, liés intimement aux sentiments des personnages . Personnages aux dons spectaculaires . D’où viennent toutes ces idées sur la magie ? Notamment la description de cette entité qui prend possession des humains ?
J’ai un petit faible pour Tadeuz , sa générosité , son calme et sa force . Mais tous sont attachants, Pryderi ,son abnégation , Lug avec ses doutes. L 'image des larmes de Tadeuz protégées dans la main de Nuada .
Une imagination fertile dans ce roman qui ne peut que ravir une lectrice fan de mystères !(Muriel)
En lisant "Les larmes du magicien !" je me retrouve comme d’habitude baignée dans cette époque qui me ravit ! La nature est très présente dans ce roman, la forêt, la mer, la force des éléments, mais aussi les couleurs, les odeurs, liés intimement aux sentiments des personnages . Personnages aux dons spectaculaires . D’où viennent toutes ces idées sur la magie ? Notamment la description de cette entité qui prend possession des humains ?
J’ai un petit faible pour Tadeuz , sa générosité , son calme et sa force . Mais tous sont attachants, Pryderi ,son abnégation , Lug avec ses doutes. L 'image des larmes de Tadeuz protégées dans la main de Nuada .
Une imagination fertile dans ce roman qui ne peut que ravir une lectrice fan de mystères !(Muriel)
Les lecteurs de "La coupe des sortilèges"
5,0 sur 5 étoiles passionnant
ParRéggai1000 PREMIERS REDACTEURS D'AVIS MEMBRE DU CLUB DES TESTEURS le 12 février 2017
Format Kindle
Ce livre est passionnant, mêlant personnages fictifs, histoire et magie. On retrouve certains personnages rencontrés dans Sang d'Hermine (même auteur), qui dans cet ouvrage sont secondaires. Arthur de Richemont est Duc de Bretagne, et organisera une chasse aux sorcières, tant il redoute d'être empoisonné. Il s'avère que l'un des personnages principaux, Andaine est guérisseuse.C'est elle qui aidera deux sœurs à accoucher la même nuit, et de là l'histoire commence...
Beaucoup de rebondissements nous tiennent en alerte. L'auteur utilise beaucoup de vocabulaire ancien (expliqué en notes), ce qui renforce cette atmosphère XVe siècle. La partie "magique" apporte encore plus de sel à cette histoire.
L’Histoire est là, mêlée au fantastique, et j’étais impatiente de savoir comment tout cela allait finir!
J’ai vraiment beaucoup aimé cette idée de mettre un point d’ancrage, des liens tissés entre les romans précédents, le rappel de l’emprisonnement de Gilles de Bretagne par exemple, comme un fil d’Ariane qui nous conduit vers le tumulus, le menhir, le champ de la sorcière des « Amants du menhir » et du « Chaman de Carnac » ! Je dirais que « La Coupe des sortilèges » est "long en bouche », on y pense après la lecture, et les impressions, les sentiments, prennent de l’ampleur. Les personnages sont toujours là, et il se passe encore quelque chose. Je garde une tendresse particulière pour le personnage de Sevestre, si délicat.
Histoire et magie sont mêlées, et la romancière ne fait pas dans la dentelle lorsqu’elle écrit!! Il n’était pas bon être femme au Moyen Age!! (Mu)
J'ai passé la matinée plongée dans la lecture, que dis-je ? prise dans le charme de "La coupe des sortilèges". Quelle belle évasion ! Je ne sais pas si vous ressentez la même emprise en l'écrivant mais, moi, je suis complètement emportée, enchantée dans le sens pur, et j'apprécie beaucoup.
Merci Colette Geslin (Hélène)
ParRéggai1000 PREMIERS REDACTEURS D'AVIS MEMBRE DU CLUB DES TESTEURS le 12 février 2017
Format Kindle
Ce livre est passionnant, mêlant personnages fictifs, histoire et magie. On retrouve certains personnages rencontrés dans Sang d'Hermine (même auteur), qui dans cet ouvrage sont secondaires. Arthur de Richemont est Duc de Bretagne, et organisera une chasse aux sorcières, tant il redoute d'être empoisonné. Il s'avère que l'un des personnages principaux, Andaine est guérisseuse.C'est elle qui aidera deux sœurs à accoucher la même nuit, et de là l'histoire commence...
Beaucoup de rebondissements nous tiennent en alerte. L'auteur utilise beaucoup de vocabulaire ancien (expliqué en notes), ce qui renforce cette atmosphère XVe siècle. La partie "magique" apporte encore plus de sel à cette histoire.
L’Histoire est là, mêlée au fantastique, et j’étais impatiente de savoir comment tout cela allait finir!
J’ai vraiment beaucoup aimé cette idée de mettre un point d’ancrage, des liens tissés entre les romans précédents, le rappel de l’emprisonnement de Gilles de Bretagne par exemple, comme un fil d’Ariane qui nous conduit vers le tumulus, le menhir, le champ de la sorcière des « Amants du menhir » et du « Chaman de Carnac » ! Je dirais que « La Coupe des sortilèges » est "long en bouche », on y pense après la lecture, et les impressions, les sentiments, prennent de l’ampleur. Les personnages sont toujours là, et il se passe encore quelque chose. Je garde une tendresse particulière pour le personnage de Sevestre, si délicat.
Histoire et magie sont mêlées, et la romancière ne fait pas dans la dentelle lorsqu’elle écrit!! Il n’était pas bon être femme au Moyen Age!! (Mu)
J'ai passé la matinée plongée dans la lecture, que dis-je ? prise dans le charme de "La coupe des sortilèges". Quelle belle évasion ! Je ne sais pas si vous ressentez la même emprise en l'écrivant mais, moi, je suis complètement emportée, enchantée dans le sens pur, et j'apprécie beaucoup.
Merci Colette Geslin (Hélène)
Ce fut toujours avec difficultés que je m'extirpais de la lecture de ce roman, voulant lire encore une page puis encore une. C'est un roman palpitant, campé dans un espace temporel futuriste, dont les intervenants ne laissent pas indifférents le lecteur. Durant toute la lecture, je vivais avec eux, leurs émotions qui me nourrissaient la journée entière et me donnaient envie de reprendre très vitre la poursuite de l'histoire.
J'ai été surprise par la violence de certains passages et n'ai pu m'empêcher de faire une corrélation avec le problème que nous avons actuellement avec les islamistes et leur vue obscurantiste par rapport à la femme et à l'évolution notamment culturelle et à leur violence ...
Enfin, pour moi, c'est un livre à garder précieusement et à relire et surtout à offrir, à conseiller à d'autre personnes. ( Marie-Noëlle)
les lecteurs de : " les destins veulent changer de chevaux"
Je tenais à vous remercier de m'avoir accompagné pour mon voyage de retour de Grèce, par la lecture de ce superbe livre:
"les destins veulent changer de chevaux" Il est absolument magnifique et je l'ai lu sur ma journée de retour, tellement cette histoire et belle et merveilleusement racontée. Mille mercis et continuer à écrire de superbes romans. (Claude)
J'ai lu "Les destins veulent changer de chevaux" et "Le voyageur du fond des temps".
J'ai tout simplement adoré ! Je les ai lus d'une traite. Vos romans sont décidément particulièrement addictifs.
Quelle imagination ! Quelle merveilleuse écriture ! Quelle chance d'avoir un tel don !
Je n'ai pas de mot, vos romans sont passionnants et votre style est très beau.
Merci de nous amener dans d'autres contrées, d'autres mondes, merci de continuer à nous faire rêver et vibrer.(Patricia)
"les destins veulent changer de chevaux" Il est absolument magnifique et je l'ai lu sur ma journée de retour, tellement cette histoire et belle et merveilleusement racontée. Mille mercis et continuer à écrire de superbes romans. (Claude)
J'ai lu "Les destins veulent changer de chevaux" et "Le voyageur du fond des temps".
J'ai tout simplement adoré ! Je les ai lus d'une traite. Vos romans sont décidément particulièrement addictifs.
Quelle imagination ! Quelle merveilleuse écriture ! Quelle chance d'avoir un tel don !
Je n'ai pas de mot, vos romans sont passionnants et votre style est très beau.
Merci de nous amener dans d'autres contrées, d'autres mondes, merci de continuer à nous faire rêver et vibrer.(Patricia)
C’est d’abord une histoire forte, solide et bien écrite qui vous fait vibrer et trembler pour les personnages que l’on découvre scène après scène et qui, tous, montrent un courage, une détermination hors du commun pour faire front devant l’adversité.
Tous ensemble, ils vont combattre cet oppresseur sanguinaire, ce Zia dictateur, qui maintient leur île dans la terreur.
On se demande alors s‘il n’est pas préférable d’éliminer sans état d’âme un tel homme pour éviter de sacrifier nombre de vies !
Blessés dans leur chair et dans leur âme, ils se redressent, se réconfortent, et continuent le combat contre cet homme qui, par désir de pouvoir, par vengeance, ne cesse de perpétrer meurtres, attentats et tient la population sous sa loi.
Jusqu’au point final où chacun combattra avec ses moyens et où enfin les femmes, jusque là opprimées, rabaissées, malmenées, se lèveront contre lui pou l’abattre elles-mêmes.
On tremble pour Quentin, nommé ambassadeur à Volos, alors que ce n’est pas son métier, pour Mirena, qu’un chantage odieux met à la merci de Zia qu’elle a dû épouser contre sa volonté, pour Dala, la sœur de Zia martyrisée au destin tragique, pour le prince Giorgio, dont la famille sera décimée par le dictateur, et qui essaie en vain de protéger son pays des menaces et des attentats qui visent à l’éliminer lui-même. Et l’on vibre avec la ténacité de Guillaume et de Josef, la détermination de Kolia, et la volonté de Léonidès qui met son savoir au service de son roi. Le courage de Léandra qui va quitter sa vie tranquille et aisée pour un avenir dangereux et incertain, l’appui de Kasoulias, le chef des montagnards, et celui du riche armateur Borroméo qui ne ménagera ni sa fortune, ni ses relations pour aider son ami Giorgio. Quant à Bénédica, la mère de Mirena, elle se servira de sa notoriété pour alerter l’opinion internationale sur l’île martyrisée.
Il y a de superbes descriptions des paysages de l’île et de la Haute Vallée, des essences qui y sont cultivées, de la paix qui y règne en montagne, si bien que le contraste de cette beauté avec la violence faite au peuple de l’île est saisissant.
Les personnages meurent les uns après les autres, et on ne peut s’empêcher parfois de songer au « Trône de Fer » lors de la disparition brutale de certains héros. mais aussi en regardant Zia agir, à toutes les horreurs perpétrées par certains gouvernants contre leur peuple, ordonnant de tirer sur la foule et sur les étudiants, faisant disparaître les gens dans les prisons, interdisant la culture aux femmes afin de mieux les garder sous la coupe des hommes et des maris qu’on leur impose !...
Il n’y a aucun temps mort, et lorsque l’histoire s’apaise un peu, elle reprend de plus belle avec un nouveau drame, une nouvelle difficulté à surmonter.
« Je sais seulement, dit Quentin à Léandra pour la décider à s’installer et à les aider sur l’île qu’il y a des êtres qui deviennent nécessaires à votre vie en une fraction d’instant... Il y a des cas où l’on ne doit pas réfléchir...où la vie vous demande d’agir ...dans l’instant et très vite ».
Comme le dit Quentin : « Si j’avais su lire l’avenir, sans doute aurais-je dû le laisser tuer à cet instant, et même y prêter main-forte, car nous aurions ainsi détourné le cours du destin de la Voloraquie » Parfois il faut tuer un être dangereux pour épargner la vie de tant d’autres, faire disparaître une seule personne, un seul homme, pour éviter de martyriser tout un pays. Oui, si le tyran Zia avait été éliminé plus tôt, le destin de l’île aurait été changé en épargnant nombre de morts !
Longtemps après avoir refermé le roman on pense encore à ces personnages que l’on quitte à regret en les laissant à un meilleur destin. (Issy)
Quelle puissance dans ce roman! Tous les personnages sont forts et la description de l'île imaginaire de Voloraquie, et de ses paysages qui accompagnent leurs déplacements, est si précise qu'on visionne parfaitement le décor.
Nous sommes en l'an 2030. C'est l'arrivée de Quentin d'Erlon, nommé ambassadeur à Volos, la capitale de la Voloraquie, au large de la Grèce, qui va déclencher une série d'événements dramatiques, qui vont sceller le destin de ce pays.
Il est accompagné de Guillaume Roquelare, que l'on envoie à ses côtés comme conseiller d'ambassade pour l'écarter d'une vie jugée trop dissolue par sa mère, sur le point d'être élue présidente de la République Française.
Quentin ignore qu'il doit cette nomination inattendue , alors qu'il n'appartient pas à la Carrière diplomatique, à Mirena, une jeune fille de l'île venue étudier à Paris et dont il n'a jamais su qu'elle appartenait à la famille régnante de Voloraquie. Il s'en est épris et leur liaison n'a duré que le temps du séjour de la jeune fille qui a dû rentrer dans son pays.
Quentin va très vite comprendre le climat délétère de l'île, surtout lorsqu'il va retrouver Mirena et assister, impuissant, au sacrifice qu'elle doit faire de sa liberté lorsqu'elle se trouve contrainte, par un chantage du général Zia, de l'épouser. C'est un cruel despote qui fait régner la terreur et n'hésite pas aux pires actions pour asseoir son pouvoir.
Après avoir été maltraitée et emprisonnée par son époux, Mirena trouvera des alliés qui l'aideront à s'échapper et la fureur de Zia ne connaîtra alors plus de mesure.
Quentin va alors s'allier au fils du roi, Giorgio, demi-frère de Mirena, au commandant des armées, fidèle au roi, Josef Grikos, au juge Léonidès Galeazzi, et à la puissante famille de la Comtessa pour affronter Zia.
Des amours vont naître au cours de cette épuisante lutte, certains personnages y laisseront leur vie en combttant le tortueux Zia. Les femmes, jusque là soumises et effacées, vont prendre de l'assurance et se joindre elles aussi au combat, sous l'impulsion de Mirena, jusqu'à l'affrontement final!
Tous les personnages de ce grand roman ont une forte personnalité, une volonté hors du commun malgré les épreuves et l'adversité, qui les uniront au lieu de les décourager. Guillaume Roquelare les aidera de son esprit inventif avec d'étranges petits robots, Gésina, la jeune dresseuse de chevaux, prendra Mirena sous sa protection, de même que Dala, la soeur martyrisée du général Zia, ainsi que Kolia, son époux, qui tiendra tête au général, tout comme Kasoulias, éleveur de chevaux et chef des montagnards, ou Tadje, maître en arts martiaux qui enseignera aux femmes à se battre. Sans oublier le fils de la Comtessa, Borromeo Ionatos, riche armateur, qui mettra sa fortune et sa puissance à leur service pour libérer l'île.
Un grand et fort roman qui nous tient en haleine, nous fait trembler, espérer et réagir, car si l'histoire est censée se dérouler en l'an 2030, dans une île imaginaire, elle n'en reste pas moins, hélas, d'une terrible actualité. (Fenua)
Tous ensemble, ils vont combattre cet oppresseur sanguinaire, ce Zia dictateur, qui maintient leur île dans la terreur.
On se demande alors s‘il n’est pas préférable d’éliminer sans état d’âme un tel homme pour éviter de sacrifier nombre de vies !
Blessés dans leur chair et dans leur âme, ils se redressent, se réconfortent, et continuent le combat contre cet homme qui, par désir de pouvoir, par vengeance, ne cesse de perpétrer meurtres, attentats et tient la population sous sa loi.
Jusqu’au point final où chacun combattra avec ses moyens et où enfin les femmes, jusque là opprimées, rabaissées, malmenées, se lèveront contre lui pou l’abattre elles-mêmes.
On tremble pour Quentin, nommé ambassadeur à Volos, alors que ce n’est pas son métier, pour Mirena, qu’un chantage odieux met à la merci de Zia qu’elle a dû épouser contre sa volonté, pour Dala, la sœur de Zia martyrisée au destin tragique, pour le prince Giorgio, dont la famille sera décimée par le dictateur, et qui essaie en vain de protéger son pays des menaces et des attentats qui visent à l’éliminer lui-même. Et l’on vibre avec la ténacité de Guillaume et de Josef, la détermination de Kolia, et la volonté de Léonidès qui met son savoir au service de son roi. Le courage de Léandra qui va quitter sa vie tranquille et aisée pour un avenir dangereux et incertain, l’appui de Kasoulias, le chef des montagnards, et celui du riche armateur Borroméo qui ne ménagera ni sa fortune, ni ses relations pour aider son ami Giorgio. Quant à Bénédica, la mère de Mirena, elle se servira de sa notoriété pour alerter l’opinion internationale sur l’île martyrisée.
Il y a de superbes descriptions des paysages de l’île et de la Haute Vallée, des essences qui y sont cultivées, de la paix qui y règne en montagne, si bien que le contraste de cette beauté avec la violence faite au peuple de l’île est saisissant.
Les personnages meurent les uns après les autres, et on ne peut s’empêcher parfois de songer au « Trône de Fer » lors de la disparition brutale de certains héros. mais aussi en regardant Zia agir, à toutes les horreurs perpétrées par certains gouvernants contre leur peuple, ordonnant de tirer sur la foule et sur les étudiants, faisant disparaître les gens dans les prisons, interdisant la culture aux femmes afin de mieux les garder sous la coupe des hommes et des maris qu’on leur impose !...
Il n’y a aucun temps mort, et lorsque l’histoire s’apaise un peu, elle reprend de plus belle avec un nouveau drame, une nouvelle difficulté à surmonter.
« Je sais seulement, dit Quentin à Léandra pour la décider à s’installer et à les aider sur l’île qu’il y a des êtres qui deviennent nécessaires à votre vie en une fraction d’instant... Il y a des cas où l’on ne doit pas réfléchir...où la vie vous demande d’agir ...dans l’instant et très vite ».
Comme le dit Quentin : « Si j’avais su lire l’avenir, sans doute aurais-je dû le laisser tuer à cet instant, et même y prêter main-forte, car nous aurions ainsi détourné le cours du destin de la Voloraquie » Parfois il faut tuer un être dangereux pour épargner la vie de tant d’autres, faire disparaître une seule personne, un seul homme, pour éviter de martyriser tout un pays. Oui, si le tyran Zia avait été éliminé plus tôt, le destin de l’île aurait été changé en épargnant nombre de morts !
Longtemps après avoir refermé le roman on pense encore à ces personnages que l’on quitte à regret en les laissant à un meilleur destin. (Issy)
Quelle puissance dans ce roman! Tous les personnages sont forts et la description de l'île imaginaire de Voloraquie, et de ses paysages qui accompagnent leurs déplacements, est si précise qu'on visionne parfaitement le décor.
Nous sommes en l'an 2030. C'est l'arrivée de Quentin d'Erlon, nommé ambassadeur à Volos, la capitale de la Voloraquie, au large de la Grèce, qui va déclencher une série d'événements dramatiques, qui vont sceller le destin de ce pays.
Il est accompagné de Guillaume Roquelare, que l'on envoie à ses côtés comme conseiller d'ambassade pour l'écarter d'une vie jugée trop dissolue par sa mère, sur le point d'être élue présidente de la République Française.
Quentin ignore qu'il doit cette nomination inattendue , alors qu'il n'appartient pas à la Carrière diplomatique, à Mirena, une jeune fille de l'île venue étudier à Paris et dont il n'a jamais su qu'elle appartenait à la famille régnante de Voloraquie. Il s'en est épris et leur liaison n'a duré que le temps du séjour de la jeune fille qui a dû rentrer dans son pays.
Quentin va très vite comprendre le climat délétère de l'île, surtout lorsqu'il va retrouver Mirena et assister, impuissant, au sacrifice qu'elle doit faire de sa liberté lorsqu'elle se trouve contrainte, par un chantage du général Zia, de l'épouser. C'est un cruel despote qui fait régner la terreur et n'hésite pas aux pires actions pour asseoir son pouvoir.
Après avoir été maltraitée et emprisonnée par son époux, Mirena trouvera des alliés qui l'aideront à s'échapper et la fureur de Zia ne connaîtra alors plus de mesure.
Quentin va alors s'allier au fils du roi, Giorgio, demi-frère de Mirena, au commandant des armées, fidèle au roi, Josef Grikos, au juge Léonidès Galeazzi, et à la puissante famille de la Comtessa pour affronter Zia.
Des amours vont naître au cours de cette épuisante lutte, certains personnages y laisseront leur vie en combttant le tortueux Zia. Les femmes, jusque là soumises et effacées, vont prendre de l'assurance et se joindre elles aussi au combat, sous l'impulsion de Mirena, jusqu'à l'affrontement final!
Tous les personnages de ce grand roman ont une forte personnalité, une volonté hors du commun malgré les épreuves et l'adversité, qui les uniront au lieu de les décourager. Guillaume Roquelare les aidera de son esprit inventif avec d'étranges petits robots, Gésina, la jeune dresseuse de chevaux, prendra Mirena sous sa protection, de même que Dala, la soeur martyrisée du général Zia, ainsi que Kolia, son époux, qui tiendra tête au général, tout comme Kasoulias, éleveur de chevaux et chef des montagnards, ou Tadje, maître en arts martiaux qui enseignera aux femmes à se battre. Sans oublier le fils de la Comtessa, Borromeo Ionatos, riche armateur, qui mettra sa fortune et sa puissance à leur service pour libérer l'île.
Un grand et fort roman qui nous tient en haleine, nous fait trembler, espérer et réagir, car si l'histoire est censée se dérouler en l'an 2030, dans une île imaginaire, elle n'en reste pas moins, hélas, d'une terrible actualité. (Fenua)
Les lecteurs du cycle Arthurien
Une plongée en apnée dans le merveilleux, les contes et légendes s’y disputent les places d’honneur, le récit est certes romanesque, mais la précision et l’ampleur de la plume de l’auteur donne à Merlin une présence entêtante, une présence bien réelle, tant il est vivant au centre d’aventures imprégnées de symboles. Si le personnage a une telle dimension, c’est que l’auteur vit intensément ses romans qui deviennent l’histoire, le style est élégant, le verbe juste, la plume est parfois légère, parfois insistante, le récit devient image et transporte le lecteur dans une autre dimension, fantastique et aérienne, c’est le souffle de l’histoire qui décoiffe les certitudes…On quitte le livre à la dernière page sans avoir eu le sentiment du temps qui passe, avec une envie folle d’en savoir plus.(P.L. Echo de la presqu’île juin 2006)
Enchanteur... comme Merlin qui porte bien son nom. On a l'impression de ressentir le souffle magique de Merlin lui-même, dans ce roman. Les dialogues entre le seigneur des elfes et les chevaux elfiques sont savoureux et malicieux. Le roman révèle des surprises à chaque page, des personnages d'une rare puissance. C'est une cavalcade audacieuse, une plongée dans un monde ancien pétrie de magie ! Un roman éblouissant dont on sort ravi! ! (Cali)
Enchanteur... comme Merlin qui porte bien son nom. On a l'impression de ressentir le souffle magique de Merlin lui-même, dans ce roman. Les dialogues entre le seigneur des elfes et les chevaux elfiques sont savoureux et malicieux. Le roman révèle des surprises à chaque page, des personnages d'une rare puissance. C'est une cavalcade audacieuse, une plongée dans un monde ancien pétrie de magie ! Un roman éblouissant dont on sort ravi! ! (Cali)
Les lecteurs de "Sang d'hermine"
Vous ne vous contentez pas de produire une histoire toujours bien documentée sur le plan historique, mais vous avez su créer ou plutôt redonner une nouvelle vie à des personnages auxquels on s'attache et que l'on n'a plus envie de quitter. A travers eux on découvre la force de ce peuple breton et l'on regarde d'un autre oeil cette région de France qui a vraiment son existence propre. Continuez à parler de ces hommes et de ses femmes qui en ont fait la richesse, car c'est de l'homme en général que vous parlez aussi. (Madeleine L.)
Bien souvent les romanciers comme vous, grâce à leur talent et à leur intuition, savent restituer aux personnages historiques âme et consistance bien plus sûrement que les historiens qui ne sentent considérer que les papiers...(J.de R.)
Un pur bonheur! Un livre de Colette Geslin, fidèle à son style authentique et tellement agréable à lire. Non seulement vous apprenez un tas de choses intéressantes sur Françoise de Dinan, Guy de Laval, et tant d'autres, mais vous passerez un moment exquis. (Hermione, janvier 2011)
Bien souvent les romanciers comme vous, grâce à leur talent et à leur intuition, savent restituer aux personnages historiques âme et consistance bien plus sûrement que les historiens qui ne sentent considérer que les papiers...(J.de R.)
Un pur bonheur! Un livre de Colette Geslin, fidèle à son style authentique et tellement agréable à lire. Non seulement vous apprenez un tas de choses intéressantes sur Françoise de Dinan, Guy de Laval, et tant d'autres, mais vous passerez un moment exquis. (Hermione, janvier 2011)
Les lecteurs de "Les amants du menhir"
Depuis des années je suis l'œuvre de cette romancière qui fait revivre le destin exceptionnel de grandes figures de l'histoire de la Bretagne: Nominoë, Alain Barbetorte, Olivier de Clisson, sans oublier Merlin et Arthur, deux romans magnifiques et fascinants.
Avec ces 2 romans" Les amants du menhir" et Le chaman de Carnac" elle plonge cette fois dans les méandres du passé pour remonter le temps jusqu'à celui des constructeurs de menhirs. Cette une idée originale pour essayer de comprendre ces peuples qui nous restent obscurs car nous n'avons pas d'autres témoignages de leur vie que ceux qu'ils ont laissés dans les dolmens, les tumulus, les menhirs.
Alors pourquoi un menhir, justement, ne pourrait-il pas nous transmettre des images, des sensations, des scènes de ce passé si lointain? Il suffit de laisser de côté notre matérialité et notre incrédulité, pour nous embarquer avec l'auteur dans ce voyage fascinant. Des ossements, des squelettes, racontent bien une existence qui remonte à des millions d'années! ."Tout ne peut pas être expliqué ici-bas, dit un des personnages du roman, même si les humains ont tendance à vouloir rationaliser, schématiser et refuser ce qui leur parait anormal et qu'ils ne peuvent ranger dans des cases précises...On dit que les lieux conservent l'empreinte d'événements sanglants, d'où les légendes, les fantomes, d'où cette sensation forte de pénétrer un environnement chargé d'énergie, positive ou négative... comme si des créatures invisibles y rodaient encore..."
Alors, oui, laissons de côté notre scepticisme habituel et pénétrons avec l'auteur dans ce monde inconnu et fascinant qu'elle nous raconte avec brio et passion!
J'ai terminé "Les amants du menhir". J'ai adoré dès les premières phrases et j'ai bien l'intention de commander le suivants & les autres car cette lecture faisant par endroits certaines références à des faits m'ont donné envie de savoir et donc de connaître pleins de choses que l'on n'apprends pas "sur les bancs de l'école". J'aime la façon dont c'est écrit et raconté. ça se lit comme " on boit du petit lait!"
Merci à vous pour cette jolie découverte de la Bretagne. (Margaret)
Après une première lecture, je me délecte une seconde fois de l'écriture dont la précision de chaque mot fait vivre l'histoire.
Tous les lieux cités me sont familiers et réveillent ma mémoire d'enfant, entourée que j'étais par une grand-mère conteuse.... Magnifique! (Yvette T.)
"Je suis une fidèle de Colette Geslin. J'aime son écriture. Cette fois-ci un mélange d'enquête et de surnaturel. j'ai hâte de connaître la suite " (Farllana, Brest)
"L'écriture de ce roman m'a émue aux larmes, tant l'auteur décrit intensément l'attention et la tendresse entre deux êtres! J'adore ces allers et retours présent passé. L'histoire m'a entourée d'une très belle atmosphère: l'art, l'Histoire, l'ésotérisme, l'herboristerie, le magnétisme, la profondeur et la complexité des rapports humains!... Bravo et merci." christbru 08/11/2021
Présentation de Louis Gildas 24/01/12 17:22
L'auteure, Colette Geslin est née à Pontchâteau il y a de cela quelques décennies ! A ce fait exceptionnel rien d'extraordinaire, il y a des tas de gens qui un jour ou l'autre choisissent de naître à Pontchâteau et c'est ainsi ! Mais voilà Colette Geslin est écrivain, et surtout pas écrivaine, mot porté, en cette rubrique en méritoire détestation, elle est donc écrivain, Colette Geslin, depuis 1960 s'il vous plaît, cela, quoique l'on puisse en dire, force le respect !
Avec ''Les amants du menhir'' elle nous relate une histoire d'amour - ah l'amour ! L'amour lorsqu'il a rendez-vous avec le fantastique. Entre Ruys, la presqu'île, et Carnac, l'éros s'inscrit ici dans les mégalithes où lorsque, dans la nuit des temps, Alwena et Artus se sont aimés à l'époque des constructeurs d'absolu. Alwena et Artus héros de notre époque post-moderne vont entrer dans cette quatrième dimension et découvrir que l'amour est plus fort que la mort !
La grande histoire de notre péninsule, celle qui s'écrit avec un grand H et l'autre si particulière, si vraie, celle comme en exergue le dit Aragon où qu'importe le temps et le monde(...) ''Il y aura toujours un couple frémissant …''
Merci à vous pour cette jolie découverte de la Bretagne. (Margaret)
Après une première lecture, je me délecte une seconde fois de l'écriture dont la précision de chaque mot fait vivre l'histoire.
Tous les lieux cités me sont familiers et réveillent ma mémoire d'enfant, entourée que j'étais par une grand-mère conteuse.... Magnifique! (Yvette T.)
"Je suis une fidèle de Colette Geslin. J'aime son écriture. Cette fois-ci un mélange d'enquête et de surnaturel. j'ai hâte de connaître la suite " (Farllana, Brest)
"L'écriture de ce roman m'a émue aux larmes, tant l'auteur décrit intensément l'attention et la tendresse entre deux êtres! J'adore ces allers et retours présent passé. L'histoire m'a entourée d'une très belle atmosphère: l'art, l'Histoire, l'ésotérisme, l'herboristerie, le magnétisme, la profondeur et la complexité des rapports humains!... Bravo et merci." christbru 08/11/2021
Présentation de Louis Gildas 24/01/12 17:22
L'auteure, Colette Geslin est née à Pontchâteau il y a de cela quelques décennies ! A ce fait exceptionnel rien d'extraordinaire, il y a des tas de gens qui un jour ou l'autre choisissent de naître à Pontchâteau et c'est ainsi ! Mais voilà Colette Geslin est écrivain, et surtout pas écrivaine, mot porté, en cette rubrique en méritoire détestation, elle est donc écrivain, Colette Geslin, depuis 1960 s'il vous plaît, cela, quoique l'on puisse en dire, force le respect !
Avec ''Les amants du menhir'' elle nous relate une histoire d'amour - ah l'amour ! L'amour lorsqu'il a rendez-vous avec le fantastique. Entre Ruys, la presqu'île, et Carnac, l'éros s'inscrit ici dans les mégalithes où lorsque, dans la nuit des temps, Alwena et Artus se sont aimés à l'époque des constructeurs d'absolu. Alwena et Artus héros de notre époque post-moderne vont entrer dans cette quatrième dimension et découvrir que l'amour est plus fort que la mort !
La grande histoire de notre péninsule, celle qui s'écrit avec un grand H et l'autre si particulière, si vraie, celle comme en exergue le dit Aragon où qu'importe le temps et le monde(...) ''Il y aura toujours un couple frémissant …''
Les lecteurs de "Le chaman de Carnac ( suite des Amants du menhir")
(Issy)J’avais hâte de retrouver les personnages des « Amants du menhir » et de savoir ce qu’était devenu leur clan après la mort d’Awa et de Arth. Cette fois c’est Josselin, le fils d’Alwena et d’Artus, qui voit apparaître une silhouette semblant lui demander de l’aide. Un soir il disparait après avoir découvert un squelette près du menhir, et à son tour il va traverser le Temps, sans doute grâce au don transmis par ses parents ,et intégrer le clan où Leu et son petit-fils Marz vont rallier plusieurs chefs pour combattre un méchant guerrier qui attaque et tue les habitants des villages. Il va prendre l’apparence d’une ombre derrière Marz, un chaman accompagné d’un loup, et l’aider à se battre contre leurs ennemis.
C’est Marz qui décidera d’élever ces hautes pierres en longues files dans un champ après un combat meurtrier, afin d’ honorer la mémoire des victimes de la cruauté du sorcier Jal.
C’est une histoire très étrange, où l’auteur imbrique si habilement deux époques, que l’on croit possible ce passage à travers le Temps. On navigue à la fois dans le présent avec des personnages étonnants comme Léonor, cette scientifique handicapée des 2 jambes qui cherche à percer le mystère du menhir, ou encore Coralise, actrice, qui s’éprend de Jérémie, le spécialiste de phénomènes paranormaux, et par le vieux chaman qui semble la réincarnation d’un autre Leu, celui du clan des menhirs !
C’est une histoire à tiroirs, une histoire où l’on oscille entre plusieurs époques et plusieurs Temps,
une histoire qui fascine et intrigue par sa complexité et ses personnages aussi surprenants dans une époque que dans une autre.
Je vais m’empresser de lire « La coupe des Sortilèges » qui raconte l’histoire de leurs ancêtres au temps du duc de Bretagne Arthur de Richemont, et donne un éclairage supplémentaire sur l’histoire de ce champ mystérieux et maudit que les habitants nomment « Le champ de la sorcière ».. (Issy)
C’est Marz qui décidera d’élever ces hautes pierres en longues files dans un champ après un combat meurtrier, afin d’ honorer la mémoire des victimes de la cruauté du sorcier Jal.
C’est une histoire très étrange, où l’auteur imbrique si habilement deux époques, que l’on croit possible ce passage à travers le Temps. On navigue à la fois dans le présent avec des personnages étonnants comme Léonor, cette scientifique handicapée des 2 jambes qui cherche à percer le mystère du menhir, ou encore Coralise, actrice, qui s’éprend de Jérémie, le spécialiste de phénomènes paranormaux, et par le vieux chaman qui semble la réincarnation d’un autre Leu, celui du clan des menhirs !
C’est une histoire à tiroirs, une histoire où l’on oscille entre plusieurs époques et plusieurs Temps,
une histoire qui fascine et intrigue par sa complexité et ses personnages aussi surprenants dans une époque que dans une autre.
Je vais m’empresser de lire « La coupe des Sortilèges » qui raconte l’histoire de leurs ancêtres au temps du duc de Bretagne Arthur de Richemont, et donne un éclairage supplémentaire sur l’histoire de ce champ mystérieux et maudit que les habitants nomment « Le champ de la sorcière ».. (Issy)
Les lecteurs de "Une épée pour le duc de Bretagne"
Quel héros ! quelle histoire ! quel écrivain et ... quel bonheur! 18 décembre 2010 : J'ai commencé ce livre et ne l'ai plus lâché ... C'est très très bien écrit. Très agréable à lire. Les dialogues ont quelque chose de très naturel. Les personnages deviennent de plus en plus attachants au cours de l'histoire. On est totalement immergé dans l'époque qui est admirablement bien évoquée. Du grand art ! De surcroit, on (re)découvre un personnage historique, authentique et exceptionnel, qui a eu une très grande importante dans l'histoire infiniment tourmentée de la Bretagne du XIème siècle. Un de ces héros qu'il ne faut surtout pas oublier !
J'ai pris ce livre à la bibliothèque de ma ville, puis je l'ai acheté pour l'avoir chez moi . C'est vous dire si j'ai aimé ! (Hermione)
J'ai pris ce livre à la bibliothèque de ma ville, puis je l'ai acheté pour l'avoir chez moi . C'est vous dire si j'ai aimé ! (Hermione)
Les lecteurs de "Les feux de Beltaine"
Ce roman vient enrichir la grande fresque du passé historique et légendaire de la région de Douarnenez. Enrichir est bien le mot, car cette histoire ouvre aux lecteurs des horizons nouveaux et une approche nouvelle des personnages qui ont peuplé les récits de notre enfance comme nos discussions d'adultes, historiens ou non.
La ville d'Ys, ou encore Keris, et ses habitants sont le thème de ce roman fort bien écrit qui nous ramène aux traditions du monde celte que l'occupation romaine et l'apparition du christianisme font basculer dans les remous des invasions du Vème siècle.
L'originalité du récit de Colette Geslin porte d'abord sur le cadre historique de l'époque qu'elle tente de reconstituer au plus près de la vérité. Le passage du monde romain au Moyen Age, sur fond d'invasions multiples, est une période historiquement floue, d'où va surgir une nouvelle civilisation "occidentale".
C'est dans ce monde heurté que se débattent les personnages que l'auteur se propose de faire revivre, avec une autre originalité, celle d'avoir su donner à Dahut, la fille du roi Gradlon, une consistance humaine, une psychologie évoluée, des comportements féminins qui nous éloignent du stéréotype, trop souvent retenu, de la jeune femme dépravée devenue la proie de Satan.
Ce parti-pris de l'auteur répond au refus atavique de beaucoup d'entre nous de traiter Dahut uniquement par le mépris. Le refus aussi d'accepter le geste de Gradlon rejetant sa fille dans les flots!
Colette Geslin, dans son roman, met de l'ordre dans tout cela. Elle donne à la submersion de la ville d'Ys une dimension cosmique et humaine à la fois, dont l'image sommeillait quelque part au fond de nos consciences, et qui trouvait beaucoup de peine à s'exprimer à travers les blocages mentaux d'une traditions séculaire.
Par ailleurs, elle prenait un gros risque en transposant une légende en roman. D'autant que la légende était connue, populaire et ancestrale. Elle a réussi là un pari dangereux, et publié un livre attachant. ( Michel Mazéas)
La ville d'Ys, ou encore Keris, et ses habitants sont le thème de ce roman fort bien écrit qui nous ramène aux traditions du monde celte que l'occupation romaine et l'apparition du christianisme font basculer dans les remous des invasions du Vème siècle.
L'originalité du récit de Colette Geslin porte d'abord sur le cadre historique de l'époque qu'elle tente de reconstituer au plus près de la vérité. Le passage du monde romain au Moyen Age, sur fond d'invasions multiples, est une période historiquement floue, d'où va surgir une nouvelle civilisation "occidentale".
C'est dans ce monde heurté que se débattent les personnages que l'auteur se propose de faire revivre, avec une autre originalité, celle d'avoir su donner à Dahut, la fille du roi Gradlon, une consistance humaine, une psychologie évoluée, des comportements féminins qui nous éloignent du stéréotype, trop souvent retenu, de la jeune femme dépravée devenue la proie de Satan.
Ce parti-pris de l'auteur répond au refus atavique de beaucoup d'entre nous de traiter Dahut uniquement par le mépris. Le refus aussi d'accepter le geste de Gradlon rejetant sa fille dans les flots!
Colette Geslin, dans son roman, met de l'ordre dans tout cela. Elle donne à la submersion de la ville d'Ys une dimension cosmique et humaine à la fois, dont l'image sommeillait quelque part au fond de nos consciences, et qui trouvait beaucoup de peine à s'exprimer à travers les blocages mentaux d'une traditions séculaire.
Par ailleurs, elle prenait un gros risque en transposant une légende en roman. D'autant que la légende était connue, populaire et ancestrale. Elle a réussi là un pari dangereux, et publié un livre attachant. ( Michel Mazéas)
Les lecteurs de "La chevauchée Nominoë"
...Si j'ai croisé quelques revenants, aperçu un ou deux korrigans, et pris le risque de croiser l'Ankou...mon compagnon de voyage le plus touchant reste sans aucun doute Nominoë.
Encore une fois, outre l'excellente description des faits historiques; vous parvenez à redonner vie à ces hommes.
Votre plume est une sorte de baguette magique...
Comment reconstituer les dialogues avec tant de justesse et d'humanité ?
Merci pour ce beau moment de lecture, et votre savoir si généreusement partagé.
Un personnage vraiment attachant... (Fanny)
Encore une fois, outre l'excellente description des faits historiques; vous parvenez à redonner vie à ces hommes.
Votre plume est une sorte de baguette magique...
Comment reconstituer les dialogues avec tant de justesse et d'humanité ?
Merci pour ce beau moment de lecture, et votre savoir si généreusement partagé.
Un personnage vraiment attachant... (Fanny)
Les lecteurs de " Deux meurtres pour un royaume" , tome II de La chevauchée Nominoë
Captivant et bien documenté : le 14 février 2017
Après "La chevauchée Nominoë", ce roman raconte ce qu'il est advenu de la Bretagne après la mort de Nominoë, la succession de son fils Erispoë, assassiné par son cousin Salomon, qui deviendra roi et sera lui-même assassiné ensuite par les siens!
L'auteur explique l'assassinat d'Erispoë dont on sait si peu de choses, ni même où il a pu se passer réellement. Et montre ensuite l'évolution du roi assassin, un personnage complexe, qui sera un grand roi " le plus roi de tous nos vieux rois de Bretagne", dit La Borderie dans son "Histoire de Bretagne"...jusqu'à son propre assassinat.
"Cette mort, si généreusement cherchée et si lâchement infligée, couronnant de longues années de pénitence et d'un dur repentir, après un long règne plein de gloire et de succès politiques, qui porta au plus haut point la puissance et la fortune de la Bretagne, cette mort mit au front du roi une céleste auréole. Au lendemain de sa mort, les Bretons saluèrent en lui un saint et un martyr, et son culte fleurit toujours en Bretagne " ..
Salomon, en effet, choisira d'aller vers sa propre mort lorsqu'il découvrira que les siens, sa famille, son gendre, son neveu, accompagné de Gurwant, l'époux de la fille d'Erispoë, ont choisi de le livrer aux Francs afin de ne pas porter eux-mêmes la main sur lui. C'est un assassinat par personne interposée, et c'est un acte vil et une situation complexe, car l'on se prend d'affection et d'intérêt pour certains de ces personnages, comme Gurwant, le comte de Rennes, dont une amitié forte le liait à son beau-frère Erispoë, et pour ses amours avec sa jeune nièce qu'il finira par épouser, la sauvant ainsi du mariage projeté par son père avec le fils de Charles le Chauve, Louis le Bègue!
Certains historiens disent d'ailleurs de lui que son personnage, si valeureux, si brave, si téméraire lorsqu'il ose défier tout seul les Vikings, aurait servi de modèle au Cid, et sa mort même reste extraordinaire de courage et de dépassement de soi-même, car il s'est fait porter en civière à la tête de son armée, pour la galvaniser, et lui faire remporter la victoire...juste avant de trépasser!
Ce livre traite la période immédiate après Nominoë, une tranche de l'histoire de la Bretagne assez occultée. Amateur d'histoire bretonne je trouve ce livre très bien documenté avec références aux sources. L'auteur à su nous passionner et retranscrire cette atmosphère féroce et parfois romanesque inhérante aux personnages et à l'époque. Très captivant, et très facile à lire.
L’Histoire se fait aussi avec l’amour, allant quasiment à l’inceste, et suscite des règlements de compte en famille. Tout cela dans une dimension romanesque étourdissante. car le roi Salomon et sa cour occupent toutes mes soirées et je vous remercie de me procurer ce bonheur .
Après "La chevauchée Nominoë", ce roman raconte ce qu'il est advenu de la Bretagne après la mort de Nominoë, la succession de son fils Erispoë, assassiné par son cousin Salomon, qui deviendra roi et sera lui-même assassiné ensuite par les siens!
L'auteur explique l'assassinat d'Erispoë dont on sait si peu de choses, ni même où il a pu se passer réellement. Et montre ensuite l'évolution du roi assassin, un personnage complexe, qui sera un grand roi " le plus roi de tous nos vieux rois de Bretagne", dit La Borderie dans son "Histoire de Bretagne"...jusqu'à son propre assassinat.
"Cette mort, si généreusement cherchée et si lâchement infligée, couronnant de longues années de pénitence et d'un dur repentir, après un long règne plein de gloire et de succès politiques, qui porta au plus haut point la puissance et la fortune de la Bretagne, cette mort mit au front du roi une céleste auréole. Au lendemain de sa mort, les Bretons saluèrent en lui un saint et un martyr, et son culte fleurit toujours en Bretagne " ..
Salomon, en effet, choisira d'aller vers sa propre mort lorsqu'il découvrira que les siens, sa famille, son gendre, son neveu, accompagné de Gurwant, l'époux de la fille d'Erispoë, ont choisi de le livrer aux Francs afin de ne pas porter eux-mêmes la main sur lui. C'est un assassinat par personne interposée, et c'est un acte vil et une situation complexe, car l'on se prend d'affection et d'intérêt pour certains de ces personnages, comme Gurwant, le comte de Rennes, dont une amitié forte le liait à son beau-frère Erispoë, et pour ses amours avec sa jeune nièce qu'il finira par épouser, la sauvant ainsi du mariage projeté par son père avec le fils de Charles le Chauve, Louis le Bègue!
Certains historiens disent d'ailleurs de lui que son personnage, si valeureux, si brave, si téméraire lorsqu'il ose défier tout seul les Vikings, aurait servi de modèle au Cid, et sa mort même reste extraordinaire de courage et de dépassement de soi-même, car il s'est fait porter en civière à la tête de son armée, pour la galvaniser, et lui faire remporter la victoire...juste avant de trépasser!
Ce livre traite la période immédiate après Nominoë, une tranche de l'histoire de la Bretagne assez occultée. Amateur d'histoire bretonne je trouve ce livre très bien documenté avec références aux sources. L'auteur à su nous passionner et retranscrire cette atmosphère féroce et parfois romanesque inhérante aux personnages et à l'époque. Très captivant, et très facile à lire.
L’Histoire se fait aussi avec l’amour, allant quasiment à l’inceste, et suscite des règlements de compte en famille. Tout cela dans une dimension romanesque étourdissante. car le roi Salomon et sa cour occupent toutes mes soirées et je vous remercie de me procurer ce bonheur .
Nice Matin, 2005
La Bretagne médiévale l'inspire: "C'est la civilisation médiévale du IXè siècle qui me fascine", commente Colette Geslin. Son dernier roman " Deux meurtres pour un Royaume" qui vient de paraître, se penche sur Erispoë qui combattit Charles Le Chauve en l'an 851.
Une époque peu connue qui laisse la porte ouverte à beaucoup de suppositions. Prétexte en tout cas à des romans historiques qui tiennent en haleine le lecteur. Actions sanglantes au coeur d'une Bretagne à peine christianisée, guerres entre familles pour la possession des terres armoricaines, tout ici à des élans épiques!
Passionnée par l'histoire bretonne, cette bretonne est née un stylo à la main: " J'ai publié mon premier roman à 20 ans, il s'intitulait "L'âme se porte noire" où l'on sent l'influence de Françoise Sagan. J'ai aussi beaucoup écrit de poésie...". Colette Geslin a ensuite suivi son mari à Tahiti où ils sont restés cinq ans. Bien sûr, elle en a profité pour écrire une saga sur cette île et la reine Pomaré IV! " La loi des ancêtres : Vanaa, t.1, et Taaroa-Omaï"t.2". De retour en france, les légendes celtiques de son enfance la rattrapent et elle écrit sur la ville d'Ys " Les Feux de Beltaine"
"Je prends ma documentation au centre de recherches celtiques à Brest", explique l'écrivain. Je suis en train de terminer un livre sur Merlin l'Enchanteur et ensuite je voudrais me pencher sur l'histoire des dieux irlandais. Je vais continuer aussi l'histoire de la Bretagne jusqu'à l'arrivée des Vikings. Si la trame est toujours historique, je rajoute des personnages qui sortent de mon imagination, ils me guident vers une conclusion et semblent posséder leur propre vie".
Des personnages attachants, à découvrir au fil d'une lecture des plus agréables. " (Sylvie. C)
Les lecteurs de: " Le voyageur du fond des Temps"
Un roman mystérieux et envoûtant
Ce roman nous propulse à la fois dans notre monde quelques années en avant et dans un lointain passé en Chine.
Une petite fille naît, dotée d'étranges pouvoirs que ses parents vont découvrir au cours d'événements inattendus. Elle va devenir experte en arts martiaux, en rencontrant un homme qui, tout comme elle, pourrait être revenu d'une autre époque. Elle se lie d'amitié amoureuse avec le commandant d'un Groupe d'intervention qui ignore sa véritable personnalité, et combat parfois à ses côtés avec ses hommes, stupéfaits de sa maîtrise ancestrale.
A la poursuite d'un être sombre et inquiétant qui, dans une autre vie en Chine, a provoqué un drame, c'est un affrontement spectaculaire dans une vieille forteresse d'Auvergne, qui révélera qui elle est vraiment.
Cette histoire curieuse nous entraîne dans des mondes fascinants où le personnage de Merline se révèle au fur et à mesure du déroulement de l'histoire qui atteint son apogée dans un final éblouissant et spectaculaire.
L'auteur nous offre quelques scènes grand spectacle, comme celle où elle apparaît à la télévision sous les traits d'une autre personne, et celle du combat dans le vieux château médiéval où, là encore elle se transforme de façon inattendue, et des pages d'émotion pour raconter la tendresse et l'amour au-delà de la mort et du Temps des deux frères chinois. (Breizh)
Quel roman! Une histoire comme on aime à en lire pour rêver à un autre univers!
On se prend à souhaiter que tout ce qu'avance l'auteure soit réel, ces réincarnations, cet amour indéfectible de deux frères qui traversent le Temps, les siècles, les époques, cette puissance donné à un être dont on ne sait s'il est réellement humain, ou réincarné, cette osmose entre le Groupe d'Andréas, soudé dans l'affrontement contre un mystérieux personnage qui les provoque. On rêve aussi de ces petits robots inventifs, qui assurent la protection et la liaison entre les uns et les autres....bien plus forts que tous les téléphones de notre époque!
On rêve de voir porter à l'écran cette histoire fascinante et intrigante.
Jubilatoire le concert de Merline!
Et l'affrontement final: spectaculaire!
On aimerait rencontrer dans la vie réelle ce personnage de Merline...encore qu'il soit préférable sans doute de ne jamais avoir à l'affronter!
Bon vent à Bao Li et à Sun... quel que soit l'endroit où vos pas vous mèneront!
Et merci à l'auteure d'avoir créé et fait vivre ces personnage fabuleux pour notre plus grand plaisir! (Martine S.)
Ce roman nous propulse à la fois dans notre monde quelques années en avant et dans un lointain passé en Chine.
Une petite fille naît, dotée d'étranges pouvoirs que ses parents vont découvrir au cours d'événements inattendus. Elle va devenir experte en arts martiaux, en rencontrant un homme qui, tout comme elle, pourrait être revenu d'une autre époque. Elle se lie d'amitié amoureuse avec le commandant d'un Groupe d'intervention qui ignore sa véritable personnalité, et combat parfois à ses côtés avec ses hommes, stupéfaits de sa maîtrise ancestrale.
A la poursuite d'un être sombre et inquiétant qui, dans une autre vie en Chine, a provoqué un drame, c'est un affrontement spectaculaire dans une vieille forteresse d'Auvergne, qui révélera qui elle est vraiment.
Cette histoire curieuse nous entraîne dans des mondes fascinants où le personnage de Merline se révèle au fur et à mesure du déroulement de l'histoire qui atteint son apogée dans un final éblouissant et spectaculaire.
L'auteur nous offre quelques scènes grand spectacle, comme celle où elle apparaît à la télévision sous les traits d'une autre personne, et celle du combat dans le vieux château médiéval où, là encore elle se transforme de façon inattendue, et des pages d'émotion pour raconter la tendresse et l'amour au-delà de la mort et du Temps des deux frères chinois. (Breizh)
Quel roman! Une histoire comme on aime à en lire pour rêver à un autre univers!
On se prend à souhaiter que tout ce qu'avance l'auteure soit réel, ces réincarnations, cet amour indéfectible de deux frères qui traversent le Temps, les siècles, les époques, cette puissance donné à un être dont on ne sait s'il est réellement humain, ou réincarné, cette osmose entre le Groupe d'Andréas, soudé dans l'affrontement contre un mystérieux personnage qui les provoque. On rêve aussi de ces petits robots inventifs, qui assurent la protection et la liaison entre les uns et les autres....bien plus forts que tous les téléphones de notre époque!
On rêve de voir porter à l'écran cette histoire fascinante et intrigante.
Jubilatoire le concert de Merline!
Et l'affrontement final: spectaculaire!
On aimerait rencontrer dans la vie réelle ce personnage de Merline...encore qu'il soit préférable sans doute de ne jamais avoir à l'affronter!
Bon vent à Bao Li et à Sun... quel que soit l'endroit où vos pas vous mèneront!
Et merci à l'auteure d'avoir créé et fait vivre ces personnage fabuleux pour notre plus grand plaisir! (Martine S.)
L'auteure à Tahiti
à l'ile de Pâques
en Nouvelle-Zélande
en Bretagne
conception et réalisation de l'auteur juin 2011
mise à jour décembre 2021
© copyright Colette Geslin
mise à jour décembre 2021
© copyright Colette Geslin